Financée par la mairie du 10e, cette œuvre de street-art rend hommage au rappeur Népal, disparu en 2019. C’est sa chanson Crossfader qui a inspiré cette fresque, aussi bleue que l’est le terrain depuis sa rénovation en 2019. À la surprise des artistes, une dizaine d’enfants du quartier s’est joint à eux pour dessiner leur propre interprétation de la chanson.

Sur le mur, le deuxième couplet du morceau est inscrit : « Tu connais la vraie puissance des mots, je tracerai ma route sans abuser des cartes, j’ai déjà bien rodé les ruses et les failles, la peur du vide ne peut pas creuser d’écart. Maintenant, on ne va pas s’excuser d’être là. »